mardi 24 février 2009

la Tunisie classée 14ème par… Nokia


Le numéro un mondial du téléphone portable, le groupe Nokia Siemens Networks vient de publier l’édition 2009 de son analyse «Connectivity Scorecard». Il s’agit d’une véritable hiérarchie internationale classant une cinquantaine de pays, en fonction de l’utilisations qu’ils font des technologies de l’information et de la communication.
  • La Tunisie est classée 14ème avec un score de 3,50 soit mieux que des pays comme la Chine (15ème avec 3,19). L’Egypte est loin derrière en 17ème position pour une note de 3,02). Nous ferons toutefois nettement moins que l’Afrique du Sud qui affiche une note de 5,76. Curieusement, nos voisins maghrébins ne figurent pas dans les tableaux du constructeur finlandais. Ainsi, ni l’Algérie, ni le Maroc, ni même la Libye ne seront comptés. Nous voici frustrés d’une énième comparaison.

    Sans surprise, les Etats-Unis se retrouvent dans le fauteuil du leader mondial avec un score de 7,71, suivis des éternels pays scandinaves, la Suède et le Danemark, respectivement 3ème et 4ème avec 7,47 et 7,18. Le Japon est bon 10ème avec 5,87. Mais c’est le score de la Corée du Sud qui paraît le plus surprenant avec 4,17, soit moins bien que la Belgique ou l’Irelande. Une surprise, donc, d’autant plus que les Coréens caracolent depuis longtemps en tête de la plupart des classements internationaux qui concernent les technologies de la communication.

    Un bémol, toutefois, pour les Tunisiens. Les pays classés ont d’abord été répartis sur deux groupes. D’une part, les économies considérées comme étant «dirigées» par l’innovation (innovation driven economy), et, d’autre part, les économies qui sont plutôt stimulées par l’efficacité (efficiency driven economy). On comprendra plus tard qu’il s’agit d’euphémismes à peine voilés, pour distinguer les plus riches des Etats émergents.

    Il n’empêche. Les scores ont été calculés selon des critères similaires, mais avec quelques différences au niveau des coefficients. Ainsi, on comprendra mieux comment nous avons réussi à battre les Espagnols sur le fil avec leur petit 3,49.

    Pour en revenir au score tunisien, on saura que nos chiffres ont d’abord été dopés par le taux de pénétration élevé de la téléphonie mobile. L’analyse l’énoncera clairement : «le secteur des communications mobiles (NDLR : en Tunisie) est concurrentiel, et a produit des résultats exceptionnels dans un laps de temps». Notre pays aurait même pu réaliser un meilleur score. Mais le taux relativement bas de l’équipement des Tunisiens en ordinateurs, et quelques faiblesses au niveau de la e-gouvernance nous ont tirés vers le bas. L’équipe mandatée par Nokia trouve également que l’investissements de nos entreprises en matériel informatique et en logiciels est plutôt maigre.

    A noter également, selon cette étude, une certaine carence en matière de serveurs internet sécurisés. Mais le point faible principal est notre taux de pénétration de l’ADSL considéré comme bien inférieur à d’autres pays de la même catégorie, comme le Chili et la Malaisie.

    Cela étant posé, le score de notre pays correspond bien, selon les auteurs, à nos performances en termes de développement humain, et à notre position dans le classement de l’Union international des Télécommunications (le fameux Digital Opportunity Index). Pas de réelles surprises, donc. Même si l’analyse vise aussi à relever l’impact des technologies de la communication sur la croissance économique. Il s’agirait même de l’élément central de la «Connectivity Scorecard».

    On rappellera à cet égard que l’objectif de la Tunisie est de porter la part des TIC dans son PIB à 13%. Et qu’un troisième opérateur des télécommunications sera bientôt en lice. Assurément des facteurs décisifs pour améliorer encore notre score, à la prochaine édition de ce classement.

Google Android sur les netbooks d'Asus

L'OS mobile de Mountain View pourrait véritablement décoller hors du téléphone

Si Google Android a encore du mal à percer dans la téléphonie mobile (seuls deux ou trois combinés exploitent aujourd'hui ce système d'exploitation), l'OS pourrait se faire une place dans les netbooks.

Cela fait longtemps que Google mise sur ce marché. En fait, Android a été dès l'origine écrit pour adresser le segment des smartphones mais aussi celui des MID (Mobile Internet Devices) et des netbooks. Google a intégré des paramètres de configuration dédiés à ces usages dans le code source d’Android.

Archos est le premier à s'être tourné vers Android avec une nouvelle gamme baptisée IMT pour Internet Media Tablet. La nouvelle tablette Internet du fabricant inclura donc Google Android (en lieu et place de l'OS d'Archos) afin de gérer les fonctions téléphoniques (une nouveauté chez Archos), Internet mobile, le tout en HSDPA et divertissements (applications tierces).

Mais la vraie bonne nouvelle pour Google provient d'Asus, le numéro deux mondial des netbooks. Le taiwanais a ainsi indiqué qu'Android pourrait équiper une de ses machines à la fin de l'année. Une équipe d'ingénieurs pour travailler en ce sens a été mise en place, a indiqué le fabricant à l'agence Bloomberg.

Si Asus s'engage véritablement dans cette stratégie, cela pourrait rebattre les cartes d'un marché aujourd'hui dominé par Windows XP alors que les netbooks étaient à l'origine pensés pour faire tourner des OS libres...

L’Europe veut pouvoir écouter les communications sur IP

Afin de lutter contre les mouvements mafieux, l’organisation Eurojust souhaite encadrer légalement les conversations en voix sur IP. Une initiative qui annonce une bataille entre transparence et chiffrement

Depuis que Skype a rendu secret son système de chiffrement des conversations, certains Etats considèrent cette décision comme un manque de transparence patent.

C’est le cas des autorités italiennes qui, dans le cadre da la lutte contre le crime organisé fait pression auprès de l’Europe afin de pouvoir écouter certaines conversations sur IP.

En ce sens, l'unité de coopération judiciaire de l'Union européenne, Eurojust, a annoncé dans un communiqué qu' à la demande de la Direzione Nazionale Antimafia à Rome, son bureau italien allait "jouer un rôle clé dans la coordination et la coopération d'enquêtes sur l'utilisation de systèmes de VoIP comme Skype".

Eurojust a donc annoncé clairement que l'objectif était de : "lever les obstacles techniques et judiciaires à l'interception des conversations téléphoniques via des systèmes de téléphonie sur Internet, en prenant en compte les diverses règles de protection des données et droits civils".

Le second attendu est clair sur les restrictions apportées à ces écoutes. Il ne serait pas possible d’écouter n’importe qui et n’importe quoi. En principe. L’objectif est "d'empêcher les criminels d'utiliser Skype et d'autres systèmes pour planifier et organiser leurs actions illégales".

Pour motiver son propos, Eurojust explique qu’il y a actuellement un accroissement de l’utilisation des services de voix sur IP par les réseaux mafieux afin de passer outre toute législation et écoute de la part d’organismes gouvernementaux. Une manière aussi de contourner (et d’obliger) les éditeurs tels que Skype  à révéler leurs petits secrets.

On est alors en droit de se demander comment une telle mesure serait applicable en France et à quelle autorité serait dévolu ce rôle.

Le projet openSUSE ne sera pas abandonné

Les temps sont durs, même dans le monde des logiciels libres

Dans une lettre ouverte, Pascal Bleser et Bryen Yunashko, membres du directoire du projet openSUSE se veulent rassurants : malgré la vague de licenciements programmée chez Novell, le système d’exploitation Linux openSUSE ne sera pas mis de côté.

Les auteurs de ce courrier électronique rappellent ainsi que "l’openSUSE est un projet communautaire, conduit par Novell et la communauté open source. Au sein de ce projet, nous ne faisons aucune distinction entre les employés de Novell et les autres participants. À ce titre, les personnes qui ont été licenciées demeurent toujours des membres importants de ce projet, et nous nous réjouissons de la possibilité de continuer à travailler avec elles comme avec les autres membres, pour le bien de notre communauté, de notre distribution Linux et du logiciel libre en général."

En d’autres termes, chômage ou pas, un programmeur reste un programmeur : vu sous cet angle, le projet openSUSE ne risque donc pas de manquer de bras (sic.). Les deux auteurs soulignent également que Novell reste toujours aussi engagé dans la poursuite de ce projet, ce qui demeure d’autant plus logique que l’activité Linux a crû de façon importante au sein de la compagnie.

Si ce courrier peut prêter à sourire (jaune), vu de France, il reflète toutefois une réalité : pratiquement tous les Américains connaissent un membre de leur famille qui a perdu son travail au cours de neuf derniers mois. C’est dans ce contexte que Novell a prévu de se séparer de près de 100 employés. La descente aux enfers semble ralentir mais la croissance n’est pas encore à l’ordre du jour.

mardi 17 février 2009

Firefox Mozilla se lance dans la téléphonie mobile




Mozilla envisage de concevoir un smartphone : l'ensemble applicatif et le matériel, et pas simplement l'OS. Un chantier Open Source, auquel chacun peut contribuer, vient ainsi d'être lancé.

L’éditeur de Firefox a annoncé lui-même son intérêt pour la téléphonie sur le blog des Mozilla Labs. Il n'existe certes encore aucun projet concret de téléphone dans l'agenda de l'éditeur, mais celui-ci commence néanmoins à défricher le terrain. Aza Raskin, chercheur aux Mozilla Labs, et le designer Billy May, planchent conjointement et présentent le fruit de leurs travaux sur un site baptisé fort à propos Mozphone.com.

Le premier modèle présenté s'inspire de l’écran cliquable BlackBerry Storm. Pour valider une action sur ce mobile, il est nécessaire d'exercer une pression sur l'écran. En s'enfonçant légèrement l'utilisateur ressent un "clic". Il sera associé à un clavier OLED (semblable à l'Optimus) dont chaque touche intègre un minuscule écran couleur. Une même touche pourra, selon l'application utilisée, arborer un chiffre, une icône, ou une lettre. L'idée est d'optimiser la surface entière du dispositif en faisant en sorte que chaque millimètre carré de la machine soit en interaction avec l'utilisateur. Il propose ainsi un clavier prédictif s'adaptant au contexte.

Des illustrations permettent de mieux comprendre le fonctionnement théorique du nouveau concept téléphone : lors de l'utilisation d'un navigateur Web, le clavier affiche les favicones et les principaux boutons de navigation ; en mode courriel, les mêmes touches du clavier changent d'aspect et affichent des lettres et des raccourcis permettant de choisir un destinataire ou d'envoyer le mail. 

dimanche 15 février 2009

Le procès de Pirate Bay en live sur le Net

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4 pirates suédois dans la galère4 pirates suédois dans la galèreLundi prochain débute en Suède l’un des procès les plus intéressants de l’année. Derrière la barre des accusés : les administrateurs de The Pirate Bay. Ceux-ci, dans leur souci de médiatisation constante de leur action,  ont fait le vœu, en début de semaine, d’une retransmission en direct des débats depuis le tribunal : « Dans cette affaire, 90% des médias se retrouvent dans la partie adverse », affirmait Peter Sunde, alias Brokep avant d’ajouter, « il est important de dire les choses telles qu’elles sont, nous voulons jouer cartes sur table dans un réel souci de transparence ».

Le procès de l'année ?

Le cri des « pirates » a donc été entendu. L’intégralité du procès sera diffusée sur SVT24, un média public suédois. Plus exactement, c’est la bande son qui sera disponible, en streaming, sur le site Internet de la station. Contrairement à la loi française, la législation suédoise permet de retransmettre la bande son d’un procès. Les images, elles, sont soumises à une autorisation spéciale du tribunal qui n’a pas été obtenue dans ce cas précis.

La rédaction de Tom's Guide ne compte pas d'expert en suédois dans ses rangs mais nous ne manquerons pas de vous faire des comptes-rendus précis du procès dès lundi.

La synchro mobile gratuite avec Google

Google SyncGoogle Sync

Adieu MobileMe et Exchange, Apple et Microsoft peuvent se faire du souci face au nouveau service de synchronisation mobile de Google.

Inutile avec Android

Tout comme MobileMe et dans une moindre mesure Exchange, Google Sync rassemble les données issues aussi bien de son ordinateur que de son mobile. Comme dans toute synchronisation, une mise à jour sur l’un ou l’autre des appareils est directement répercutée sur tous les autres. Cela est bien entendu valable aussi bien pour les contacts que pour les calendriers.

La compatibilité est assurée avec des principales plateformes du marché : iPhone, Blackberry, Nokia S60 et standard, Sony Ericsson et Windows Mobile. Android n'est quant à lui pas supporté, car il intègre déjà toutes ces fonctionnalités.  

Pratiquez-vous le «sleeveface»?

«Sleeveface» réalisé à l'aide de la pochette du single de Morrissey «Every Day Is Like Sunday».
«Sleeveface» réalisé à l'aide de la pochette du single de Morrissey «Every Day Is Like Sunday»./DR

En images

Le premier «sleeveface» réalisé par John Rostron et Carl Morris.

PHOTO - Un nouveau courant artistique et ludique est né sur le net...

Vous avez aimé les «Martine», vous allez adorer le «sleeveface», comprenez «figure pochette».

Le principe est ultra-simple. Vous prenez une pochette de disque (idéalement un 33T) sur laquelle est reproduite une partie du corps humain, vous remplacez cette même partie de votre corps avec et vous prenez le résultat, souvent très drôle, en photo. Le degré zéro du photomontage en quelque sorte, nous ramenant en -50 avant Photoshop.

Accessible à tous, ce nouveau courant artistique et participatif agite la planète Internet depuis quelques mois. Aux frontières de la blague de potache et de l'art contemporain, le «sleeveface» séduit tout le monde.

Une blague de DJ

Né complètement par hasard lors d'une soirée entre trentenaire fous de musique, le «sleeveface» est depuis devenu un vrai phénomène.

Début 2007, John Rostron et Carl Morris, deux jeunes DJ gallois attrapent quelques galettes (Paul McCartney et Ted Nugent) lors d'une soirée et posent, le visage masqué par les pochettes devant l'objectif de leurs potes. Le premier «sleeveface» est né.

L'enthousiasme est immédiat. En mai, ils créent le groupe Sleeveface sur Facebook, le réseau social qui commence à faire parler de lui. Aujourd'hui, plus de 3.500 facebookers se revendiquent de ce mouvement. Devant l'ampleur du phénomène, John et Carl ouvrent un groupe sur le site de photos Flickr où plus de 700 «sleevefaces», plus ou moins réussis, sont maintenant répertoriés.

Des milliers d'adeptes

Inventé il y a moins d'un an, le mot «sleeveface» génère aujourd'hui 25.000 résultats sur Google.

Le nom est déposé, un livre compilation et un vidéoclip sont en préparation. Fous de «sleeveface», certains racontent qu'ils ont déjà assisté à des shootings sauvages en plein magasin de disques.

Retrouvez le diaporama des 20 meilleurs «sleevefaces» ici.

Knight Music, un groupe suédois de pop expérimentale a repris l'idée pour un de leur clip, ouvrant ainsi la porte à des tas de déclinaisons.
Source: http://www.20minutes.fr

Un PDF révèle la surcote de Facebook

Mark ZuckerbergMark Zuckerberg

On dirait bien que Microsoft s’est fait avoir en achetant en 2007 une partie des titres de Facebook pour 240 millions de dollars. À l’époque, la société de Mark Zuckerberg était estimée à 15 milliards de dollars à la surprise de tout le monde. À la faveur d’une erreur de copier/coller dans un PDF, on apprend aujourd’hui que le site estime plutôt sa valeur à 3,7 milliards de dollars, soit quatre fois moins.

Un compte-rendu mal masqué

Durant l’été 2008, ConnectU, un site équivalent à Facebook, fondé par d’anciens camarades de classe de Zuckerberg à Harvard, l’accusait de lui avoir volé son idée. Facebook avait tout fait pour que les audiences soient gardées secrètes, allant jusqu’à en faire bannir un journaliste. Mais aux États-Unis, tous les comptes-rendus d’audiences sont rendus publics. Si les versions papiers sont amputées d’informations confidentielles grâce à un surlignage noir sur les phrases sensibles, il n’en est apparemment rien de la version électronique.

En effet, le PDF de la cour californienne disponible ici, ne dissimule ces données seulement via un naïf procédé d’écriture de blanc sur blanc. Il suffit donc de sélectionner avec sa souris le texte apparemment disparu pour en lire l’intégralité. C’est donc ainsi que l’on apprend que le site Facebook évalue ses titres à 3,7 milliards de dollars, soit environ 8,8 dollars par unité.

De quoi faire regretter son achat à Microsoft qui a payé les siens environ quatre fois plus. Si dans une transaction de ce type, en vue d’un partenariat, il est d’usage de payer un peu plus cher que les prix courants, on est habituellement loin de ces proportions astronomiques. Reste maintenant à savoir si Facebook vaut bel et bien ses 3,7 milliards de dollars alors qu’il ne réalise « que » 300 millions de chiffre d’affaires.

Source: http://www.infos-du-net.com/

jeudi 12 février 2009

Tunisie : Les banques peu portées sur le financement des TIC.

Malgré son poids dans l’économie de la Tunisie (10% du PIB), le secteur des TIC (à ne pas confondre avec les vendeurs du hardware implantés en Tunisie) souffre encore du manque de financements en comparaison avec d’autres secteurs (industrie, agroalimentaire ou tourisme). Souvent en effet, les demandes de crédits sollicités auprès des banques tunisiennes pour financer des projets dans ce domaine, sont refusés pour cause « la tangibilité du projet ». La faute à qui alors? Est-ce que c’est le promoteur du projet qui n’a pas su convaincre la banque ou bien les responsables des directions centrales de financement au sein des établissements de crédit qui ne sont pas up-to-date s’agissant de l’innovation de tous les instants qui est celle du secteur des nouvelles technologies ?. Et dans ce cas comment l’Etat pourra atteindre l’objectif de 13,5% en tant que part des Tic dans le PIB en 2011 ?.

A cet égard, une rencontre sur le thème « le financement des PME en TIC » a eu lieu, cette semaine, au pôle El Ghazala en vue de mieux faire connaître les mécanismes de financement offerts par le secteur bancaire au profit des promoteurs qui opèrent dans l'immatériel, rencontre organisée par l'Amen Bank. S’agit-il d’un signe fort de la banque en vue de se lancer dans le financement des Tic ou bien d’une réunion ne dépassant pas le cadre des séminaires d’animation programmés par le pole El Ghazala. Car de l’avis de ses responsables, Amen Bank, qui parraine depuis 2006 le Pôle El Ghazala et est actionnaire aux technopôles de Sidi Thabet et de Sousse, n’a financé en total qu’à peine une dizaine de projets dans les nouvelles technologies.

Crédits à court, moyen et long terme.

Les banquiers qui intervenaient dans le cadre de cette journée ont souligné que les PME tunisiennes, actives dans le domaine des TIC, ont la possibilité de financer leurs projets, soit par des opérations en capital, soit par endettement bancaire. Au nombre des mécanismes de financement par fonds propres, les conférenciers ont cité les fonds d'amorçage (structure qui accorde un financement à la PME avant même le démarrage du projet), les Sociétés d'investissement à capital risque (SICAR), le Régime d'incitation à l'innovation dans les TIC (RIITI) et les fonds d'essaimage.

S’agissant du financement bancaire (établissements de crédit ou BFPME), il touche au financement des achats (financements de stock, lettre de crédit, financement en devises), au financement des ventes (escompte, préfinancement export, mobilisation de créances nées sur l’étranger) et ou au financement de marchés (cautions, préfinancement de marché, avances sur décomptes).

Pour ce qui est du financement à moyen et long terme, la banque peut aller jusqu’à 70% du total des investissements du projet sur une durée de 7 ans dans le cas de financement par moyennant les ressources propres de la banque mais sur une période plus longue en cas d’imputions d’une ligne de crédit extérieure.

Seulement 11% des projets dans les TIC financés par la BFPME.

Des experts du domaine affirment que les banques tunisiennes, qui ont commencé à appliquer les règles de Bâle II, au mois de novembre 2008, n’ont aucune raison de ne pas se lancer dans le financement de projets, tous secteurs confondus, en particulier les Tic, d’autant moins que ce secteur joue un rôle important dans la promotion d'une véritable industrie bancaire et que la révolution numérique a déjà permis de promouvoir de nouveaux produits financiers, tels que la banque virtuelle, le e-commerce et les paiements électroniques.

En effet, les règles de Bâle II visent à maîtriser et à gérer au mieux les risques bancaires, et ce, à travers le respect d'un ratio de fonds propres fixé par le comité de Bâle. Un tel choix exige des banques d'utiliser les TIC pour s'approvisionner à l'extérieur et pour sous-traiter une partie de leurs activités.

Question garantie, parmi les dernières mesures annoncées pour encourager le secteur bancaire à fournir les financements nécessaires aux PME sous forme de fonds de roulement en vue de financer leurs projets,figure la mise en place d’une ligne de garantie d’un montant de 25 millions de dinars. (Cette ligne est placée auprès de la Société tunisienne de garantie (SORUGAR).

Selon les chiffres officiels, seuls 11% des projets dans le domaine des TIC ont bénéficié du total des financements de la Banque de financement des petites et moyennes entreprises (BFPME) contre 25% prévus.

Les promoteurs de projets Tic, présents à cette rencontre, ont appelé le système bancaire en Tunisie à accompagner les exigences de la nouvelle économie du savoir et à fournir aux chefs d’entreprises des financements appropriés.

« Nous constatons que les banques sont toujours réticentes par rapport au secteur des TIC. Il faut donc qu'elles investissent dans l'immatériel avant d'exiger des garanties matérielles. Les banques doivent, dans cette optique, prendre plus de risque dans le financement des projets porteurs, en particulier dans les TIC. Il est important de rappeler que ce genre d'investissements engage des sommes importantes, et le retour sur investissement n'est pas immédiat », a précisé un jeune promoteur installé au pôle.

Il a ajouté que « 90% de l'investissement d'une SSII est constitué de salaires des ingénieurs et non de machines, locaux ou matières premières, donc les SSII ont beaucoup plus besoin d'un financement en fonds de roulement plutôt que d'un capital de démarrage. Un capital, même de 10.000 dinars est largement suffisant pour une SSII, mais qui doit parfois investir 2 à 3 millions de dinars pendant au moins 3 ans pour développer un produit logiciel, donc payer des salaires sans le moindre revenu, puis commencer à le commercialiser au bout de 3 à 4 ans. Et ceci, les banques n'acceptent pas de le financer. Actuellement aucune banque commerciale de la place ne finance un contrat de développement logiciel, ou de service, sans une garantie réelle, et les SSII souffrent beaucoup de cette incohérence bancaire et de cette frilosité, ce qui explique le retard de développement du secteur ».

Le débat a porté pour l'essentiel sur les actions futures à mener par le secteur bancaire, en général, et Amen Bank en particulier, en vue de réduire les appréhensions des investisseurs, suite à l'actuelle crise internationale, le statut juridique de l’entreprise et le droit aux crédits ainsi que les sociétés non résidentes et l’accès aux financements.

A ce titre, les représentants d’Amen Bank ont précisé que la stratégie mise en place pour développer la gamme PME au niveau de leur banque porte notamment sur la participation aux « Mercredis de l’Entreprise » afin d’assister et orienter les promoteurs s’ils ont un projet intéressant et bancable, la collaboration avec les structures d’appui (API, APIA,…) et la présence au niveau des pépinières d’entreprises.


Source: http://www.africanmanager.com/

Tunisie - TIC : Le ministère du Commerce développe une application pour la gestion du contrôle technique à l'importation

Tunisie - TIC : Le ministère du Commerce développe une application pour la gestion du contrôle technique à l'importation
Le ministère du Commerce et de l’Artisanat a lancé une consultation en vue de sélectionner un consultant pour le développement d’une application informatique pour la gestion du contrôle technique à l’importation.
Cette action entre dans le cadre du projet de développement des exportations PIDE II, financé par la Banque mondiale.
Les SSII peuvent manifester leur intérêt jusqu’au 13 mars 2009.

Source: http://www.webmanagercenter.com.tn

Tunisie : TT et Tunisiana exclus, le MTC ménagera le candidat mais annonce déjà d’autres licences.

Dans un mémorandum publié par le ministère tunisien des technologies de la communication, l’Etat tunisien donne tous les détails à propos de son dernier appel d’offre (AO) pour l’attribution d’une licence pour l’installation et l’exploitation d’un réseau public de télécommunications en Tunisie pour fournir des services de télécommunications fixes combinés avec des services de télécommunications mobiles 2G/3G (la "Licence") sur la base d’un appel d’offres concurrentiel (le "Processus d’Attribution").

Il y explique notamment que «la licence est technologiquement neutre et ouverte en termes de services et de choix d’infrastructures (fibre optique, ADSL, Wimax, CDMA) à l’effet de commercialiser tout service de télécommunications fixes et mobiles ». Le ministère indique aussi que les services qui sont offerts dans cette licence incluent, sans être limitatif, les services de télécommunications fixes qui sont les services téléphoniques nationaux et internationaux, y compris la téléphonie sur IP, les services d’accès à l’Internet, services de transmission de données, services de transport de signaux dans le respect de la réglementation applicable en la matière, les services en gros (wholesale), y compris sans être restrictif, la location de capacité et la vente en gros de trafic.

Les services de télécommunications mobiles visés sont le service téléphonique mobile, national et international, les services de messagerie SMS et MMS, les services de données incluant notamment la visiophonie, l'Internet mobile, la messagerie multimédia et le contenu multimédia avec haut débit mobile et les services de vente en gros du trafic aux opérateurs et aux fournisseurs de services de télécommunications autorisés conformément à la législation et à la réglementation en vigueur.

Le MTC ménagera le candidat, mais tient toujours à la bonne concurrence.

Nouveauté de cette licence, elle donne droit au nouveau venu d’accéder aux infrastructures existantes pour établir son réseau, le droit aux fréquences, à la numérotation et aux codes internationaux, à l’interconnexion, à l’exploitation du trafic international entrant et sortant selon les conditions définies dans le projet de la convention de licence. Contrairement à la licence donnée à Tunisiana, le candidat à la nouvelle licence aura le statut de fournisseur de services Internet, pourra vendre les services de téléphonie sur IP. Cela sans compter «l'itinérance nationale et internationale, la fourniture de services de portabilité des numéros, l’exploitation de la Licence pendant une période de 15 ans avec possibilité de prorogation, à la demande du titulaire, par périodes supplémentaires n’excédant pas dix (10) ans chacune. La commercialisation des services couverts par la présente Licence doit démarrer à compter du 1er janvier 2010 ».

Privilège du candidat à la nouvelle licence tunisienne et «pour favoriser la dynamique concurrentielle et soutenir l’introduction du nouvel entrant », ce dernier aura une période de répit de presque 5 ans (jusqu’à 2013), avant que ne soit lancée une nouvelle licence fixe supplémentaire et d’une seule année avant que ne soient attribuées d’autres licences 3 G à d’autres opérateurs. Que cette condition soit ainsi mentionnée, l’Etat tunisien annonce d’ores et déjà son intention d’accorder une 3ème licence dans la téléphonie fixe et d’accorder d’autres (au pluriel) licence en UMTS 3 G. On pourrait comprendre là, comme ce n’est pas clairement dit, que l’une de ces nouvelles licences pourrait être accordée à l’opérateur privé actuel Tunisiana. L’Etat tunisien s’est en effet exprimé sur son souci de la concurrence entre opérateurs. Tunisiana est, pour l’instant l’unique à ne posséder ni le fixe, ni le 3G. Tunisie Télécom a le fixe et un réseau démonstratif en 3 G.

Ce souci de favoriser la concurrence est d’ailleurs clairement exprimé dans les termes dudit mémorandum, lorsqu’il dit que «les principaux objectifs recherchés par l’attribution de la Licence ont trait à l’introduction de la concurrence afin de dynamiser et développer le marché des télécommunications et au renforcement et à la diversification de l'offre des services sur le marché mobile à travers notamment le renforcement de l’innovation en termes de service et de structures tarifaires afin de mieux servir les besoins du marché tunisien, le développement des services de télécommunications offerts aux entreprises pour encourager l’investissement, particulièrement dans le cadre des zones administratives et économiques, le développement de la pénétration de l’Internet haut débit et des services y afférents, l’amélioration de la qualité de service».

TT et Tunisiana exclus.

Le processus d’attribution de la nouvelle licence universelle exclue depuis le départ la Société Nationale de Télécommunications (Tunisie Télécom), en tant qu’opérateur d’un réseau de téléphonie fixe et mobile, ainsi que ses actionnaires, ainsi qu’Orascom Telecom Tunisie (Tunisiana), en tant qu’opérateur d’un réseau de téléphonie mobile, ainsi que ses actionnaires. La licence s’adresse ainsi, selon le texte du mémorandum, «aux opérateurs de réseaux de télécommunications disposant de leurs propres infrastructures et titulaires, depuis au moins deux (2) ans, d’au moins une licence incluant des services de téléphonie fixes ou mobiles en cours d’exploitation ou d’une licence incluant des services de transmission de données par satellite en cours d’exploitation en Tunisie (les "Opérateurs" et chacun d’entre eux "l’Opérateur"). L’Opérateur doit avoir une expérience confirmée et justifier de références solides dans l’installation et l’exploitation des réseaux de télécommunications».

Pour cette licence, les opérateurs candidats peuvent agir seuls ou en consortium avec d’autres investisseurs. Dans le cas d’un consortium, l’opérateur candidat devra diriger le Consortium. Il n’est cependant pas encore dit (ca viendra peut-être dans le cahier des charges), si le ministère voudra définir les proportions de l’actionnariat du nouvel opérateur.

Le processus d’attribution contient enfin un calendrier. On y apprend ainsi, qu’une journée d’information sera organisée le 20 janvier 2009 à propos de cet AO. La date limite de réception des demandes d'éclaircissement et informations complémentaires a été fixée pour le 3 février 2009. La date d’envoi des réponses aux demandes d’éclaircissement, sera pour le 24 février 2009, la date limite de réception des propositions d’amendements de la convention de licence est pour le 13 mars 2009. Date de communication de la version finale de la convention de licence 7 avril 2009

Lancement d’un nouveau portail boursier arabe

Le Centre des ressources des Marchés des capitaux arabes (ACMRC) a annoncé aujourd'hui le lancement de btflive.net, un portail financier couvrant l'ensemble des marchés boursiers des pays arabes avec les derniers fondamentaux et analyses techniques ainsi que les outils de prévisions boursières et financières, parallèlement à la parution d’un magazine mensuel spécialisé dans la diffusion d’informations sur les marchés financiers, la création de richesses et de la gestion des placements.

btflive.net, une source indépendante de recherche et d'analyse boursière, propose « un contenu riche en fonctionnalités au travers d’un portail financier gratuit destiné aux investisseurs ».

btflive.net entièrement axé sur les bourses de la région MENA, du Maroc à la Tunisie, et des pays du Golfe couvre environ 1600 entreprises publiques dans la région

dimanche 8 février 2009

Ubuntu vs. Vista vs. Windows 7 : le verdict


Contrat rempli pour l’OS fétiche du monde des logiciels libres, qui écrase aussi bien Windows Vista que Windows 7.



Les comparatifs entre Windows et Linux se multiplient, mais ne sont pas toujours pertinents. Celui posté sur Tux Radar intéressera tout particulièrement les professionnels, car il se concentre sur les problèmes de déploiement, de temps de démarrage… et de performance.

Ce test est effectué sur une machine moderne pourvue d’un Intel Core i7 920 (comprenant quatre cœurs et cadencé à 2,66 GHz), de 6 Go de mémoire vive et de deux disques durs de 500 Go. Le choix des OS est cohérent : Ubuntu 8.10 (stable) et Ubuntu 9.04 (alpha) côté Linux, Vista (stable) et 7 (bêta) dans le clan Windows. Les versions 32 bits et 64 bits sont testées dans chacun des cas.

Contrairement aux idées reçues, Linux s’installe bien plus rapidement que Windows et avec moins d’interventions de la part du technicien. Un bon point pour les déploiements en masse de cet OS. L’Ubuntu occupe également très peu de place. L’installer sur un netbook pourvu de 8 Go ou 12 Go de disque Flash est très largement envisageable. Nous ne pouvons en dire de même avec Windows 7, bien trop gourmand en espace de stockage : ici, un disque de 16 Go ou 20 Go semble être le minimum vital.

C’est une constante, Linux met plus de temps à démarrer que Windows. Par contre, une fois le bureau affiché, cet OS est entièrement chargé en mémoire, alors que Windows continue à lancer des services et à effectuer d’autres tâches pendant un temps qui peut atteindre les dix minutes. La stratégie employée est donc différente. Linux se rattrape sur le temps avant extinction de la machine, ici très court. Notez que si l’Ubuntu 9.04 64 bits adopte le système de fichiers ext4, elle reprend la seconde place de ce classement, 2,2 secondes derrière la version 32 bits de Windows 7. Pas mal !

La manipulation de données sur le disque dur couronne Linux comme grand champion. Avec l’ext4, les résultats grimpent encore, et parfois de plus de 25 % ! Il est à noter que Windows n’est pas très bon lorsqu’il s’agit de supprimer des fichiers, cette opération pouvant prendre parfois beaucoup de temps (ou parfois très peu). Linux ne fait toutefois guère mieux, la suppression de très gros fichiers (plusieurs gigaoctets) étant systématiquement assez longue sous ext3.

L’article de Tux Radar se termine sur un test de performance cross-plate-forme relativement complet. Ici, les performances de Windows sont supérieures à celles de Linux. Relativisons toutefois : les performances des versions 32 bits de Windows sont nettement supérieures à celles des versions 32 bits de Linux. Par contre, les moutures 64 bits des OS proposent des performances presque identiques, quoique toujours en faveur de Windows.

Cet écart entre les OS 32 bits et 64 bits s’explique aisément : Windows et ses applications sont adaptés à l’ensemble des spécificités des processeurs du marché. Si vous disposez d’un Pentium MMX, l’unité multimédia MMX sera utilisée dès que possible. Si vous disposez d’un Core 2 Duo, le système s’adaptera aux optimisations spécifiques à cette puce (présence du SSE, instructions plus rapides, etc.). Bref, le code est presque toujours exécuté au mieux, car les optimisations sont dynamiques.

Linux pourrait faire de même, mais les développeurs adoptent une approche souvent différente. Ainsi, il est compilé avec un jeu fixe d’optimisations, compatible avec une majorité de processeurs : en mode 32 bits, les unités multimédias (MMX, SSE, etc.) sont tout simplement ignorées, le système étant compilé pour fonctionner sur des 386 pourvus d’une unité de calcul sur les nombres flottants. Vous disposez d’un Core 2 Duo qui propose du SSE et accélère certains traitements ? Hélas, le code ne prendra que rarement en compte ces spécificités.

En mode 64 bits, les choses changent : les processeurs x86 compatibles avec ces instructions sont tous de la classe Pentium et intègrent tous les unités multimédias MMX et SSE. Aussi, le compilateur se fixe un lot d’optimisations de base bien plus conséquent. En conséquence les performances grimpent.

Au final, les résultats sont peu glorieux pour Windows Vista et Windows 7. L’Ubuntu bat ses deux OS à plate couture. La situation s’inverse toutefois lorsque les performances pures sont mesurées. Windows reprend alors l’avantage. Cependant, si vous optez pour une mouture 64 bits de Linux, cette différence de vitesse sera imperceptible (moins de 1 %).

Source: http://www.silicon.fr/fr/news/2009/02/06/ubuntu_vs__vista_vs__windows_7___le_verdict?page=1

samedi 7 février 2009

Windows 7 : le prix dévoilé



Alors que Windows 7 doit sortir dans le courant de cette année sur les étalages, les prix des différentes versions sont désormais connus. Il va donc falloir débourser un minimum de 200 dollars pour s’offrir l’édition la plus simple de Windows 7 en version boîte...

Un prix pour Windows 7


Ce sont donc quatre éditions de Windows 7 qui devraient être commercialisées, de la manière suivante :

  • Windows 7 Home Basic, qui sera vendu 199,95 dollars;
  • Windows 7 Home Premium, au prix de 259,95 dollars;
  • Windows 7 Professional, qui devrait coûter 299,95 dollars;
  • Windows 7 Ultimate, enfin, pour 319,95 dollars.


A priori, ces tarifs correspondent à des versions complètes et en boîte de Windows 7, ce qui signifie qu’il devrait être possible d’obtenir des versions de mise à niveau, ou encore des versions OEM pour un prix bien inférieur. Notons également que ces tarifs se situent pour la plupart bien en dessous de ceux qui avaient été annoncés pour Windows Vista en 2006. Mais souvenons-nous de l’écart de prix parfois impressionnant qu’avaient connu certaines versions en arrivant en Europe, attendons donc une annonce des prix spécifique à notre continent pour tirer des conclusions trop hâtives.


Source: http://www.infos-du-net.com


vendredi 6 février 2009

Salon International de l'externalisation et des solutions TIC se tiendra du 15 au 17 avril 2009 à Tunis

Ce Salon de l'externalisation des fonctions et des services est à la fois un lieu d'exposition, de rencontre et de travail.

Pour cette nouvelle session, voit s’élargir le champ d’intervention de ce salon aux solutions Informatique en plus de l’externalisation et ce en le rebaptisant « Outsourcing & IT Solutions » en venant bâtir sur la réussite des deux sessions précédentes d’Outsourcing (mars 2006 et Novembre 2007) pour s’élargir au secteur TIC en général et au solutions IT en particulier, avec pour objectif d’offrir au secteur TIC tunisien une vitrine digne de son dynamisme et sa portée.

Ce Salon de l'externalisation des fonctions et des services est à la fois un lieu d'exposition, de rencontre et de travail. Outsourcing & IT Solutions’2009 se propose de mettre en présence les entreprises et les prestataires de services concernés par l'externalisation.

Rendez-vous de l’externalisation et des TIC, Outsourcing & IT Solutions se caractérise par la qualité de son visitorat composé essentiellement des chefs d’entreprise (environ 61%) et 10% de consultants et professions libérales ainsi que par la richesse des conférences et workshop qui s’y tiennent.
Cette année, Outsourcing & IT Solutions comptera plus de cent exposants et devrait enregistrer plus de cinq mille visites.

Visiteurs Outsourcing & IT Solutions 2009 :

est ouvert au public professionnel
attend plus de 4000 visiteurs professionnels
Le visitora de Outsourcing 2006 et 2007 était composé à Plus de 60% de Chefs d’entreprises, PDG, DG, Gérants,…

Visotrorat d’Outsourcing 2006 et 2007 :

o CEO, Managers PDG, DG, Gérants : 61%
o Operational Managers, Responsables Opérationnels : 21%
o Consultants, Professions libérales, Consultants : 10%
o Project Managers, Chefs de projets : 8%

Outsourcing & IT Solutions 2009 plus de 100 stands pour :

Outsourcing :

IT Solutions

IT Outsourcing, ASP
Global Facility Management
RH Outsourcing
Relation Client
Services généraux, Achats
Administration, Finance
Logistique
Telecom
Partenariat Public Privé

e-business
Services en ligne
e-services
e-commerce
e-government
e-health
e-learning
ERP, Supply chain Management
CRM, GED, Dématérialisation
SaaS
Software as a Service
Télécommunication et réseau
Sécurité informatique
IT Consulting services
Intranet / extranet
Mobilité



Source: http://www.outsourcing.com.tn/
http://it.utica.org.tn/site/fr/home.php?id_article=10

jeudi 5 février 2009

Hannibal 1 pour garantir une meilleure connexion de la Tunisie

L’affaire de la rupture des câbles de télécommunications de France Télécom qui des perturbation dans plusieurs pays a soulevé des interrogations de la part des députés lors d'une séance plénière de la Chambre des Députés tenue récemment sous la présidence de Mr Fouad Mbazaâ, président de la Chambre.

Un député s'est ainsi interrogé sur les mesures de prévention prises par la Tunisie pour assurer et sécuriser les télécommunications via les câbles sous-marins, lesquels sont exposés à des accidents pouvant causer leur interruption.

Mr El Hadj Gley, ministre des Technologies de la communication, a relevé à ce propos que la Tunisie a investi une enveloppe de 5 millions de dinars pour la protection des câbles contre d'éventuels accidents et prévoit la mobilisation de 16 millions de dinars pour cette fin en 2009.

En outre, un nouveau câble sous-marin (Hannibal 1), d’une capacité de 30 giga bits à la seconde, sera installé prochainement moyennant un investissement de l’ordre de 13 millions de dinars.

Ce nouveau câble permettra de garantir une meilleure connexion de la Tunisie aux réseaux internationaux des télécommunications, d’atténuer l’impact des accidents d’interruption des câbles, de diversifier et d’augmenter la capacité des liaisons de la Tunisie avec l’extérieur.

Source: www.tunisiait.com

Cisco prépare son entrée sur le marché des serveurs

Business - Le leader mondial des équipements réseaux se diversifie en attaquant le secteur très concurrentiel des serveurs. Comme valeur ajoutée de ses offres, il mise sur les outils de virtualisation de VMware, société dont il détient 2 % du capital.

A la recherche de relais de croissance en cette période de contraction des investissements IT, Cisco s'apprête à faire un mouvement d'importance vers le marché des serveurs, nouveau pour lui.

Pour prendre des parts de marché à IBM et HP, les deux leaders en la matière (et par ailleurs partenaires de Cisco pour les équipements réseaux), l'équipementier américain va miser dans les prochains mois sur des serveurs de type lame équipés de logiciels de virtualisation avancée. C'est ce qu'a déclaré Padmasree Warrior, la CTO de Cisco dans une interview au New York Times. Selon elle, ce mouvement « n'est pas un nouveau marché, mais une transition de marché. Chaque fois qu'une transition majeure intervient, de grandes compagnies doivent s'affronter dans certains domaines. »

Virtualiser intégralement les data center

Pour proposer une offre nouvelle et compétitive sur ce segment hautement concurrentiel, Cisco va s'appuyer sur l'expertise de VMware (dont il détient 2 % du capital) et livrer ses futurs serveurs avec les logiciels de virtualisation de ce dernier. Le but est d'attaquer frontalement les data center, en proposant à la fois le matériel et le logiciel pour gérer ces salles informatiques. « Notre vision est : comment virtualiser l'intégralité d'un data center ? Cela ne concerne pas qu'un seul produit. Nous aurons une gamme de produits qui nous permettront de réaliser cette transition », a expliqué Padmasree Warrior.

Si en terme de choix de produit, la stratégie de Cisco vers les serveurs et les data center virtualisés semble judicieux, côté alliance, elle pourrait faire grincer des dents chez IBM et HP. L'un comme l'autre sont aussi engagés dans des processus visant à mettre en avant la virtualisation sur leur serveurs, et l'arrivée d'un concurrent d'importance comme Cisco, bien que néophyte, devrait fortement déplaire.


Source: Zdnet.fr

Google réserve l'exclusivité d'un satellite pour Maps et Earth

Google est acteur incontournable de la toile, maintenant present physiquement dans l'espace, est-ce que...

Commentaire de Alex5555

Google s'adjuge les services d'un nouveau satellite pour lui seul : parmi tous les sites de géolocalisation, il aura l'exclusivité complète pour utiliser les images fournies par le satellite américain GeoEye-1. L'engin doit être lancé à la fin de la semaine, à partir de la base de Vandenberg en Californie.

Le satellite américain Geo-Eye 1Les termes exacts de l'accord, en particulier les contreparties financières, n'ont pas été dévoilés. Google, via cette exclusivité, a obtenu le droit de faire figurer son logo sur la fusée de lancement (voir photo).

GeoEye-1 sera positionné en orbite à 676 kilomètres au-dessus de la Terre et sera capable de collecter des images avec des détails d'une précision de 41 centimètres. Ces données seront insérées dans les services Google Maps et Google Earth.


Source: CNET News.com

Avec Ocean, Google Earth 5.0 explore les fonds marins

echnologie - Après les surfaces de la Lune et de Mars et l’espace, Google s’attaque au fond des océans dans la version 5.0 de Google Earth. Elle permet aussi le téléchargement de données GPS et le suivi de certaines zones à différentes époques.

Depuis le lancement en 2005 de Google Earth, l'entreprise a étendu sa technologie d'exploration virtuelle hors de la planète : à la surface de la Lune et de Mars, puis à l'espace. Ce lundi 2 février, retour sur Terre mais sous les mers : Google a présenté la version 5.0 de Google Earth, qui couvre l'ensemble des océans.

Les conférences de presse se sont tenues à Paris avec Francine Cousteau, veuve du célèbre commandant, et aux Etats-Unis avec Al Gore et l'océanographe Sylvia Earle. La fonctionnalité Océan a en effet été développée « avec plus de 80 organismes publics et privés », indique l'entreprise, dont la Cousteau Society (on peut ainsi voir 115 vidéos extraites des films de Cousteau) pour la France.

Bathymétrie de la côte de Hawaii

Téléchargez Google Earth 5.0 sur ZDNet.fr

Google souligne que ce passage aux profondeurs marines représente « un saut technologique », puisqu'il a fallu décrire la profondeur, ce qui n'existait pas dans la version « terrestre » : Google Earth 5.0 couvre à présent les océans, soit 70 % de la surface de la Terre abritant 80 % de la vie, observent ses créateurs. Comme pour la version terrestre, certaines zones, « une vingtaine », offrent une résolution poussée, d'autres beaucoup moins, en fonction de l'état de l'exploration humaine, mais la totalité des océans est visible.

Suivi satellite de certaines espèces

Vision en 3D des fonds océaniques, plongées dans les grandes fosses, images de l'activité volcanique - bien plus abondante sous les mers que sur les terres émergées - sont offertes à l'exploration virtuelle. Le fond des océans a été modélisé grâce à des données bathymétriques. De même les partenariats noués pour cette fonctionnalité permettent de suivre les déplacements d'une partie de la faune marine (baleines suivies par satellites par exemple), parfois avec décalage pour éviter que les informations servent à leur pêche. Les internautes peuvent aussi suivre la température, le vent, et la pression liés à un certain nombre d'endroits d'où des balises transmettent ces données.

Parmi les partenaires, figure logiquement un site atlas de surf, Wannasurf.com, un des services renseignant sur les bons spots. La fonctionnalité Océan présente aussi un caractère de sensibilisation, selon ses promoteurs : elle inclut des présentations sur les « zones mortes » (victimes de la pollution), les zones protégées, les espèces à consommer de préférence, etc.

Une des prochaines étapes, assure-t-on chez Google, verra Google Earth s'étendre aux profondeurs des lacs et des mers intérieures.

Grande barrière de corail, Australie

Télécharger des itinéraires depuis un GPS

Outre Océan, cette version présente plusieurs nouveautés, comme le passage de 26 à 40 langues et l'intégration de la surface de Mars (auparavant, ce service était distinct de Google Eath stricto sensu, nécessitant un téléchargement spécifique).

Enfin, il comprend des images historiques, pour suivre plusieurs époques (récentes, puisque vues par satellite) d'un lieu : fonte d'un glacier, désertification autour du lac Tchad, construction de la nouvelle Bibliothèque nationale ou du musée du quai Branly à Paris... Google Earth permet également de construire sa propre visite en ajoutant, sur un itinéraire, des fichiers textes, sons ou images. Enfin, il permet de télécharger des itinéraires à partir d'appareils GPS.


Source: http://www.zdnet.fr/


Google; Après le bug du 31 janvier, quel impact sur l'image de Google?

Internet - Quatre jours après le bug planétaire de Google, quelles peuvent-être ses conséquences sur l’économie des moteurs de recherche et sur l’image de l’entreprise ? Quelles leçons en tirer ? Les réponses de trois professionnels interrogés par ZDNet.fr

Selon Xiti, le bug de Google du samedi 31 janvier a fait chuter de 90 % le trafic issu du moteur de recherche Google (voir son étude).

Alors que Google accapare en France 91% du trafic des moteurs de recherche, quel regard portent des professionnels de l'audience et des moteurs sur les conséquences de cette défaillance sur l'économie du secteur et sur l'image du groupe américain ? C'est ce que nous avons demandé à trois d'entre eux.

David DegrelleDavid Degrelle, P-DG de 1ère Position : « On est face à une machine de guerre monstrueuse »
« Sur les sites avec lesquels nous travaillons, on a vu la baisse de trafic : le message a visiblement effrayé pas mal d'internautes. Maintenant, comme le bug a touché les résultats naturels de Google, qui sont un service gratuit, il serait difficile pour une entreprise d'entreprendre une action pour préjudice à cause d'une baisse d'audience. Les liens sponsorisés, qui eux représentent l'énorme majorité du revenu de Google, n'ont pas été touchés.

Je ne crois pas que l'image de Google ait été touchée. C'est devenu une marque générique, comme Frigidaire avec les réfrigérateurs. Je ne crois pas qu'il y ait un report du public, c'est comme si un émetteur de TF1 ou France 2 avait eu une coupure temporaire, les téléspectateurs y reviendraient quand même ensuite. Google est tellement rapide, tellement pertinent, les internautes en ont tellement pris l'habitude, c'est tellement devenu une partie intégrante du Web que cet incident n'y changera rien. Et nous ne changerons rien à nos recommandations aux clients, parce que c'est là que toute la recherche se concentre.

Cela dit, cette affaire nous apprend pas mal de choses sur le fonctionnement de Google. D'abord, il y a eu une intervention manuelle d'ingénieurs qui mettent dans une liste des sites jugés malveillants. Ça alors que Google s'est toujours défendu de mettre de l'humain à côté du travail de ses algorithmes. Or, là où on met de l'humain, il peut y avoir des pressions. Quand un client demande que contre son budget comme annonceur son référencement soit amélioré, la réponse a toujours été que techniquement c'est impossible, parce que ce n'est pas le même algorithme. Là Marissa Mayer [vice-présidente de Google] nous dit qu'il y a à la fois une gestion manuelle et une gestion automatique. Et qu'il y ait des humains derrière les algorithmes veut dire qu'il peut y avoir des failles, qu'on peut y appliquer du social engineering...

Deuxième enseignement : par rapport à l'époque où on parlait de la "Google Dance", où les mises à jours mettaient un certain temps à s'étendre à l'ensemble des serveurs de Google, tout a changé. On est face à une machine de guerre monstrueuse, qui indexe en temps réel. C'est une évolution vraiment impressionnante de la puissance de calcul de Google. »

David BianoviciDavid Bianovici, DG de Relevant Traffic France : « D'autres batailles s'annoncent »
« Je ne pense pas que ça changera quelque chose sur le marché du search. On ne peut pas faire sans Google de toute façon, la concurrence n'est pas là en termes de volume. Les deux suiveurs (Yahoo et Microsoft, Ndlr) ne font pas le poids. Même si c'est un vrai danger pour toute l'économie, cette archidomination d'une seule société, il n'y a pas d'entreprise qui puisse concurrencer Google sur ce marché.

Est-ce que le bug de samedi fera du mal à Google, je ne pense pas. Est-ce qu'il va renforcer le sentiment général qu'on lui donne trop, oui. Tous nos annonceurs sont dans des logiques d'économie, les CPC (Coût Par Clic, Ndlr) se sont envolés ces dernières années et ça devient un peu tendu, d'autant plus depuis la politique de Google de supprimer les remises aux agences à partir du 1er janvier 2009.

Pour moi, sur le search Google a gagné. Cela dit, il y a d'autres batailles qui s'annoncent, c'est un peu comme avec Microsoft qui domine le desk, mais a été contourné sur d'autres terrains. La montée des mobiles, des terminaux comme l'iPhone, ça peut modifier des choses, il faudra des outils de recherche avec une ergonomie adaptée. Il y a aussi les réseaux sociaux, qui génèrent beaucoup de visites et peuvent changer des comportements. »

Olivier AndrieuOlivier Andrieu, Abondance.com : « Le danger d'être Google-dépendant »
« Cet incident reste assez minime - ce n'est pas le premier ou le seul qu'a connu Google -, mais comme là c'était sur le moteur même et que ça a duré une heure, ça s'est vu. Ça montre qu'il faut souvent vérifier ce qui se dit sur Internet : ça semble peut-être évident pour les anciennes générations, mais les nouvelles ont tendance à penser que Google c'est la vérité.

L'incident du 31 janvier a fait chuter le trafic, mais pour certains sites il a pu montrer le danger d'être "Google-dépendant" : je vois parfois des gens qui me disent recevoir 80 % de leur trafic par les moteurs et qui en sont très fiers, alors que c'est dangereux. C'est un peu comme une entreprise qui serait dépendante d'un seul client, et on l'a vu samedi.

Pour moi, les sites qui ont vraiment souffert de l'incident ont surtout un trafic issu d'autres sources insuffisant. J'estime que la bonne répartition de l'audience d'un site doit suivre une règle des trois tiers : un tiers par les outils de recherche, un tiers en accès direct (saisie directe, favoris, tout ce qui relève aussi d'une promotion offline), et un tiers par des liens (publicités, échanges de liens, annuaires etc.).

Je trouve que la panne de samedi est un épiphénomène : si ça avait été sur Yahoo ou MSN ça ne se serait pas ou peu vu, et surtout on en aurait beaucoup moins parlé. Ça révèle un phénomène un peu latent de ras-le-bol de Google, qui s'exprime à l'occasion de ce genre d'incident. Regardez le lancement de Cuil il y a quelques mois : ils ont reçu un gros trafic initial, qui n'est pas resté ensuite parce que le moteur n'était pas à la hauteur. Mais ça montre qu'il y a de la place pour d'autres outils, peut-être pas frontalement. Yahoo ou Microsoft essaient de cloner Google, mais ce serait peut-être plutôt avec des projets complètement différents, des trucs un peu fous a priori qu'il y aurait une place à prendre. »


Source: http://www.zdnet.fr/


mercredi 4 février 2009

Tunisie : GSM, Internet ; où est la vérité ?

Des chiffres récents sortis par le Ministère de technologies de communication, montrent 22,6% d'augmentation du nombre d'abonnés GSM dans le pays, pour atteindre un record de 9 millions d'abonnés. Au décembre 2006 et selon l’INTT, le nombre de lignes GSM était de 7,339 millions. Ce chiffre de 9 millions, publié par le ministère contredit d’une manière flagrante un autre chiffre publié par ce même ministère sur son propre site internet. Selon ce document qui se réfère à une période plus récente, les derniers 8 mois 2008, «le nombre d’abonnés aux réseaux de la téléphonie mobile a atteint 8 millions 375 mille abonnés (8 375 000) à la fin du mois d’août 2008 contre 7 millions 424 mille abonnés (7 424 000) pour la même période de l’année 2007, soit une augmentation d’un million d’abonnés additionnels en l’espace d’une année. La densité téléphonique se situe de près de 81 abonnés pour 100 habitants ». Qui croire alors ? Le ministère sur son propre site ou le ministère rapporté par le site officiel Tunisiaonlinenews dans une information datée du 3 octobre 2008 ?

Selon le même site officiel d’information, «le nombre des internautes a atteint maintenant 1,7 millions contre 1,3 millions d'utilisateurs en 2006. Le nombre d’abonnés aux lignes à haut débit, l'ADSL a aussi déferlé considérablement, pour atteindre 114000 en 2007 contre 45500 en 2006. Contradiction encore, le même site du ministère des technologies de la communication indiquait que «le nombre des utilisateurs internet en Tunisie a atteint 2,3 millions à fin août 2008, contre 1,6 millions pour la même période de 2007, soit une progression de 39%. En particulier, le nombre des abonnés ADSL a atteint 166 mille en août 2008, contre seulement 83 mille à la même période en 2007». Qui dit vrai ?



Source: http://www.africanmanager.com/


Tunisie : Apres Aérolia, Safran signera aussi à la fin de ce mois.

«Safran est un groupe international de haute technologie spécialisé dans quatre domaines d’activité : la propulsion aéronautique et spatiale, les équipements aéronautiques, la défense et la sécurité. Le Groupe emploie 58 200 personnes dans plus de 30 pays, pour un chiffre d’affaires supérieur à 12 milliards d’euros. Composé de nombreuses sociétés aux marques prestigieuses, le Groupe occupe, seul ou en partenariat, des positions de premier plan mondial ou européen sur ses marchés ».

Nous croyons savoir, de source officielle, que le 9 février 2009 et à l’occasion d’une visite en Tunisie du ministre français du transport, Safran devrait signer avec le gouvernement tunisien, une convention pour la création d’une entreprise en Tunisie spécialisée dans l’industrie aéronautique. On ne sait rien encore du montant de l’investissement, ni du nombre de postes d’emploi que devrait créer cette nouvelle entreprise française en Tunisie.


Source: http://www.africanmanager.com


Vente en ligne des tickets Tunisie-Hollande

les tickets pour la partie amicale Tunisie-Hollande qui se tiendra le 11/02/2009 au stade de radès, sont en vente en ligne sur le site: http://www.tunisieticket.com/

Bonne chance pour notre sélection nationale.

Un 3ème opérateur Fix et Mobil pour la Tunisie

La Tunisie a lancé un appel d'offre pour introduire un 3ème opération téléphonique et 13 entreprises du Golfe et d'Europe ont manifesté leur intérêt, selon le ministre tunisien des Technologies de la communication El Hadj Gley.

Il a indiqué que les résultats de cet appel d'offres international concernant l'installation et l'exploitation d'un réseau de téléphonie fixe et mobile de troisième génération ( Internet et autres services) seront annoncés en juin 2009, a rapporté jeudi l'agence Tunis Afrique Presse (TAP).
Selon M. Gley, un nouvel opérateur permettra de renforcer les efforts de modernisation de l'infrastructure des technologies de l'information et de la communication (TIC) et d'améliorer les services Internet à haut débit, notamment, ceux destinés aux entreprises.

Il doit également contribuer à la diversification des services, développer les contenus numériques, promouvoir la concurrence dans une perspective de réduction des coûts et offrir une multitude de technologies (Techniques Wimax et autres).

Source : Xinhuanet.com

Le déploiement de la VoIP en Tunisie

  • La Chambre syndicale nationale des installateurs des équipements des communications (CSNIEC), relevant de la Fédération nationale des TIC de l’UTICA, a récemment annoncé qu’elle était sur le point de signer une convention de coopération avec l'opérateur historique des télécommunication, en l'occurrence Tunisie Télécom, dans le domaine de la VoIP.

    L’intérêt de cette convention réside dans le fait qu’elle fixera les rôles et les responsabilités de chacune des deux parties dans le déploiement de la VoIP (voix sur réseau IP) en Tunisie.

    C'est en tout cas ce qu'a indiqué le bureau exécutif de la CSNIEC à l’issue d’une réunion du bureau exécutif la Chambre avec la direction centrale des marchés d’entreprises de Tunisie Télécom. Une réunion qui a constitué une occasion pour discuter des premiers résultats de la commercialisation par l’opérateur historique du Pack IPBX -qui permet aux entreprises, à l’exemple des centres d’appels, de relayer les appels externes sur la VoIP.

    En outre, la CSNIEC a fait appel à l’avis de Tunisie Télécom sur les conditions de fourniture de service téléphonie sur protocole Internet, qui fera également objet d’une convention entre les deux parties sur le mode de coopération.

    Parallèlement, des discussions sur les activités des installations complexes dans les immeubles ont été entamées afin de mettre à jour les rôles de chacun concernant ce volet, surtout que cette complexité est une source de vulnérabilité et un élément d’insécurité pour le réseau.

    Les deux parties ont, par ailleurs, étudié possibilité de création d’une commission mixte permanente qui effectuera des réunions périodiques sur les projets futures et le développement d’un partenariat PPP. La chambre syndicale indique également que d’autres rencontres seront prochainement organisées avec les responsables du secteur pour discuter des mutations technologiques dans les réseaux des télécommunications, principalement les fibres optiques.


source: http://www.webmanagercenter.com.tn/